
Montpellier-le-vieux n’est pas une ville, mais un extraordinaire ensemble rocheux, dû à l’érosion et au ruissellement des eaux de pluie sur les roches dolomitiques du causse noir.

Tout cet enchevêtrement de rues, de voûtes, de cheminements, de saillies sur corniches, tantôt se croisent à angle droit comme au ville tirée au cordeau, tantôt formant un labyrinthe où l’on erre, tout cet ensemble comme ces détails ne peuvent se décrire.
M. de Malafosse, un de ses « découvreurs » en 1883.

Ce sont les bergers des troupeaux transhumans du Languedoc qui auraient donné ce nom à ce gigantesque chaos, qui vu de loin, évoque une grande ville ruinée.

Jusqu’en 1870, ce chaos, masqué par une forêt impénétrable, était considéré par les habitants alentours comme une cité maudite, hantée par le diable.

En 1931, la société de l’Aven Armand acheta les terrains et consstruisit une route d’accès. L’ère touristique commençait : aujourd’hui le parc dispose de différents sentiers balisés et d’un petit train.

Ces différents circuits nous mènent vers différentes curiosités naturelles où le regard, laissons libre cours à son imagination, distingue tantôt un animal tantôt un objet…





L’arche évoquait, pour Edouard Alfred Martel, la célèbre porte des Lions du site antique. L’arc s’élève à 12 mètres de haut.




Les pins sylvestres poussent contraint par le vent.




Ainsi s’achève notre visite de ce magnifique chaos et aussi notre escapade à la découverte des gorges du Tarn. J’espère que cette série d’articles vous a plu.
A bientôt !
Merci Louis , c’est une formidable promenade Bisous bonne soirée MTH
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Cela me rajeunit et me rappelle un arrêt dans cette région, quand j’étais enfant, qui m’avait déçu, m’attendant à une vielle et belle ville.
Le temps me rend plus sensible à ce spectacle et certaines photos, comme le crocodile, sont surprenantes!
Ne serait ce pas Nimes le vieux? 🙂
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